Ne pas hésiter à valoriser tout ce que votre enfant réalise de positif, même si cela vous paraît normal, simple ou évident.
Par exemple, remercier un enfant d’être venu vers nous quand on l’a appelé, le fera revenir plus facilement la prochaine fois (surtout s’il est en pleine période d’opposition et qu’il semble adorer vous faire tourner en bourrique).
A l’inverse, ne pas stigmatiser, dévaloriser ni culpabiliser son enfant. Les « qu’est-ce que tu es lent ! », « c’est nul ! » ou encore « avec tout ce que je fais pour toi… » n’apportent que mal-être et incompréhension pour l’enfant (et en général culpabilité a posteriori pour le parent…).
Si une mauvaise action survient, il faut parler de l’action et pas de la personnalité de l’enfant en lui-même (= ce qu’il a fait est mal, pas lui).
En revanche, les compliments sincères tels que « je suis fière d’avoir une fille aussi géniale que toi » ou « un fils aussi grand et adorable » les valorisent et renforcent leur sentiment de confiance en eux.